Quelques éléments pour expliquer l’organisation, la logique de ces programmations :
en donnant du temps à chaque branchetechnique des maths, l’organisation apparaît comme très classique, il y a peu de liens apparents entre celles-ci (pourtant j’en faits) ;
les séquences de 3 ou 4 semaines apparaissent clairement dans et témoignent de mon envie de donner plus de place à la manipulation et à l’organisation d’ateliers ;
cette organisation cloisonnée n’empêche pas l’utilisation de situations – problèmes (parfois) pour faire découvrir des notions, parfois inspirées d’ERMEL (réadaptées et compressées), notamment en mesures ou en problèmes ;
le calcul mental est organisé en quatre domaines : les calculs additifs et soustractifs ; multiplications et divisions ; trucs et astuces ; et enfin des problèmes amenant à faire des calculs de tête ; Stella Baruk détesterait sans doute cette organisation ;
nous profitons de certains des nombreux dispositifs proposés en maths : le Kangourou des maths et La course aux nombres ;
à l’école du Centre d’Ostwald, 3 fois par an nous faisons passer les courses de « Calculix » qui reprennent ces 4 domaines ;
je crois (prudemment) à enseigner les problèmes par le biais d’une typologie et de situations stéréotypes.